Théâtre





Photo, Peinture, collage
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L’habituel, comment en rendre compte ?
A la pétanque, les générations se croisent pour venir boire un coup, 20m2, c’est la taille de ce troquet dont les couleurs chaudes, le flipper bariolé, les bouteilles clinquantes contrastent avec l’extérieur et semblent sortis d’une autre époque.
Dans ce projet de collages, mis en lumière, puis retravaillés à la couleur, j’ai cherché à figer un instant, et à faire naître de l’ordinaire quelque chose d’extraordinaire.
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Photo, Peinture, collage
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L’habituel, comment en rendre compte ?
A la pétanque, les générations se croisent pour venir boire un coup, 20m2, c’est la taille de ce troquet dont les couleurs chaudes, le flipper bariolé, les bouteilles clinquantes contrastent avec l’extérieur et semblent sortis d’une autre époque.
Dans ce projet de collages, mis en lumière, puis retravaillés à la couleur, j’ai cherché à figer un instant, et à faire naître de l’ordinaire quelque chose d’extraordinaire.
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TOSCA
Direction musical
Andreas Sebastian Weiser
Mise en scène
Arnaud Bernard
Scénographie
Camille Dugas assistée de
Clara Georges Sartorio
Costumes
Marianna Stranska, Arnaud Bernard
Lumière
Arnaud Bernard
Photographies
Patrik Borecky
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Production - Narodni Divadlo, Prague
Inspiré du film La vie des autres de Florian Henckel von Donnersmarck et du livre 1986 de Georges Orwell, Tosca est ici une charge contre les régimes totalitaires. Rome, où se déroule l’action, est symbolisée au sol par un plan de la ville : les bâtiments romains y sont contrôlés par les policiers à l’aide de rouages. Le plateau, qui s'incline progressivement au cours de la pièce, deviendra pour cette raison totalement impraticable à la fin de la représentation. Le monde policier des années 30, représenté par une coursive et de hauts murs, vient englober, étouffer cet univers. On y pratique les écoutes téléphoniques, le fichage des citoyens, la torture…