Théâtre
Photo, Peinture, collage
L’habituel, comment en rendre compte ?
A la pétanque, les générations se croisent pour venir boire un coup, 20m2, c’est la taille de ce troquet dont les couleurs chaudes, le flipper bariolé, les bouteilles clinquantes contrastent avec l’extérieur et semblent sortis d’une autre époque.
Dans ce projet de collages, mis en lumière, puis retravaillés à la couleur, j’ai cherché à figer un instant, et à faire naître de l’ordinaire quelque chose d’extraordinaire.
Photo, Peinture, collage
L’habituel, comment en rendre compte ?
A la pétanque, les générations se croisent pour venir boire un coup, 20m2, c’est la taille de ce troquet dont les couleurs chaudes, le flipper bariolé, les bouteilles clinquantes contrastent avec l’extérieur et semblent sortis d’une autre époque.
Dans ce projet de collages, mis en lumière, puis retravaillés à la couleur, j’ai cherché à figer un instant, et à faire naître de l’ordinaire quelque chose d’extraordinaire.
de Wajdi Mouawad
Projet fictif - Ecole Duperré 2016
Projet inter-école en partenariat avec le Théâtre de la Colline
Intervenant - Emmanuel Clolus
Scénographie - Clara Georges Sartorio et Elsa Markou
Implantation au Théâtre de la Colline, Paris
DESCRIPTION
Oedipe, accompagné de sa fille Antigone, arrive à Athènes pour mourir. Ils rencontrent dans un ancien théâtre antique un coryphée, porte parole du peuple. La cité est à feu et à sang, des émeutes font rage. Athènes pleure l'assassinat par la police d'un jeune grec, Alexandros.
Dans Les larmes d'Oedipe, Wajdi Mouawad tisse des liens entre Oedipe à Colonne de Sophocle et la crise grecque de 2008.
Nous avons ancré l'action au sein d'une carrière de pierre car cet espace tisse au même titre que la pièce des liens entre passé et présent : il y a la force tragique des pierres antiques, c'est un lieu de travail où des matériaux brut sont transformés, c'est un lieu clos où le lointain est mis à distance.
Ouverture de la carrière au lointain