Théâtre
Photo, Peinture, collage
L’habituel, comment en rendre compte ?
A la pétanque, les générations se croisent pour venir boire un coup, 20m2, c’est la taille de ce troquet dont les couleurs chaudes, le flipper bariolé, les bouteilles clinquantes contrastent avec l’extérieur et semblent sortis d’une autre époque.
Dans ce projet de collages, mis en lumière, puis retravaillés à la couleur, j’ai cherché à figer un instant, et à faire naître de l’ordinaire quelque chose d’extraordinaire.
Photo, Peinture, collage
L’habituel, comment en rendre compte ?
A la pétanque, les générations se croisent pour venir boire un coup, 20m2, c’est la taille de ce troquet dont les couleurs chaudes, le flipper bariolé, les bouteilles clinquantes contrastent avec l’extérieur et semblent sortis d’une autre époque.
Dans ce projet de collages, mis en lumière, puis retravaillés à la couleur, j’ai cherché à figer un instant, et à faire naître de l’ordinaire quelque chose d’extraordinaire.
combats de
possédés
Texte
Laurent Gaudé
Atelier dirigé par
Guillaume Lévêque
Mise en scène
Sarah Delaby Rochette
Scénographie
Clara Georges Sartorio
Costumes
Melody Cheyrou
Projet fictif Ensatt 2018
"Le patron : J'ai construit des hôtels. Fait bâtir des buildings et des autoroutes. Investi des capitaux dans des banques, des compagnies aériennes, des entreprises nationales. j'ai soudoyé des juges, des ministres, j'ai fait chanter riches et pauvres, indifféremment. J'ai construit un empire qui, s'il s'écroulait, ensevelirait des milliers de personnes dans un nuage de fumée. Je suis l'ami des grands artistes, le parrain attendri de plusieurs chanteuses. On me salue, je vais dans les soirée privées sans que l'on me demande mon identité à l'entrée. Et sais-tu fils quelle est la pièce de cet empire qui prime sur toutes les autres ? Sais tu ce qui tient ce grand ensemble ?"
Extrait de Combat de possédés, Laurent Gaudé