Théâtre



Photo, Peinture, collage
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L’habituel, comment en rendre compte ?
A la pétanque, les générations se croisent pour venir boire un coup, 20m2, c’est la taille de ce troquet dont les couleurs chaudes, le flipper bariolé, les bouteilles clinquantes contrastent avec l’extérieur et semblent sortis d’une autre époque.
Dans ce projet de collages, mis en lumière, puis retravaillés à la couleur, j’ai cherché à figer un instant, et à faire naître de l’ordinaire quelque chose d’extraordinaire.
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Photo, Peinture, collage
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L’habituel, comment en rendre compte ?
A la pétanque, les générations se croisent pour venir boire un coup, 20m2, c’est la taille de ce troquet dont les couleurs chaudes, le flipper bariolé, les bouteilles clinquantes contrastent avec l’extérieur et semblent sortis d’une autre époque.
Dans ce projet de collages, mis en lumière, puis retravaillés à la couleur, j’ai cherché à figer un instant, et à faire naître de l’ordinaire quelque chose d’extraordinaire.
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clara georges sartorio
scénographe - artiste visuelle




GRAND BATTEMENT
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Texte Marie Depoorter
Jeu Marie Depoorter, Baptiste Febvre
Collaboration dramaturgique Sarah Delaby-Rochette et Mikaël Tréguer
Dramaturgie Baptiste Febvre
Scénographie Clara Georges Sartorio
Création costume Claire Dian
Création lumière Alice Nedelec
Collaboration chorégraphique Ricardo Moreno, Léonie Roger, Pauline Popard
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Création au Théâtre de l'Elysée en 2020
© Crédits photo Alice Nedelec, Amandine Robert, Marie Manzagol
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​Seul en scène, Grand battement est un spectacle physique et rythmique sur la découverte du désir. Nelly s’entraîne dans son studio, le rythme de ses petites batteries s’entremêlent au rythme de son récit. Eternellement, Nelly revient dans ce studio de danse pour toucher à la perfection technique, effleurer du doigt la justesse émotionnelle d’une pantomime
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"En moins d’une heure, l’autrice brosse à grands traits le portrait d’une jeune artiste résolue et l’éclosion à la féminité et à l’âge adulte. Elle signe ici un spectacle très personnel et déjà très abouti sur le féminin et, parallèlement, dissèque les méandres et les complexités qui tissent les liens entre rigueur et aptitude à la création.
Pour tout dire, j’ai trouvé ce solo écrit, dansé et joué, par Marie Depoorter (retenez bien ce nom) épatant, emballant, magnifique ! Merci à l’Élysée de l’avoir déniché et montré, avant de le programmer la saison prochaine…"
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Trina Mounier pour Les trois coups, 2021
