Théâtre
Photo, Peinture, collage
L’habituel, comment en rendre compte ?
A la pétanque, les générations se croisent pour venir boire un coup, 20m2, c’est la taille de ce troquet dont les couleurs chaudes, le flipper bariolé, les bouteilles clinquantes contrastent avec l’extérieur et semblent sortis d’une autre époque.
Dans ce projet de collages, mis en lumière, puis retravaillés à la couleur, j’ai cherché à figer un instant, et à faire naître de l’ordinaire quelque chose d’extraordinaire.
Photo, Peinture, collage
L’habituel, comment en rendre compte ?
A la pétanque, les générations se croisent pour venir boire un coup, 20m2, c’est la taille de ce troquet dont les couleurs chaudes, le flipper bariolé, les bouteilles clinquantes contrastent avec l’extérieur et semblent sortis d’une autre époque.
Dans ce projet de collages, mis en lumière, puis retravaillés à la couleur, j’ai cherché à figer un instant, et à faire naître de l’ordinaire quelque chose d’extraordinaire.
Épuisement de l'espace
d'un corps
Photo
Volumes en papier
Projection vidéo
Comment s’emparer de l’espace du corps comme un outil plastique à part entière ?
Ici le corps est synthétisé, déformé, reformé, inventorié. Les volumes en papier réalisés à partir de photographies macro d’un même corps nu, montrent un corps esthétisé mais déroutant par sa forme inhumaine. De ce corps ne subsiste que des fragments : pores de la peau, poils, grains de beauté, reliefs et creux... De sujet il devient objet en prenant des formes hétérogènes : en 2D ou en 3D, organiques ou minimalistes. Le noir et blanc participe de cette même démarche.
Constituant une installation en tryptique, les trois volumes mis en scène dans l’espace, semblent des excroissances, des formes parasitaires déroutantes : sujets ou objets ?
La dernière étape d’épuisement de l’espace de mon corps a été pour moi d’en faire l’inventaire, et de confronter cette matière vivante, et en couleurs, aux volumes inertes et que j’avais créés.